Pourquoi est-il nécessaire d’éduquer votre chaton ?

L’éducation d’un chaton joue un rôle important dans son développement. La majorité de ses comportements sont acquis auprès de sa mère. Il est donc de votre devoir de corriger les mauvaises attitudes de votre chaton. En outre, cela vous permet de vous rapprocher de lui et de lui donner de l’affection. De plus, une éducation complète l’aide à s’adapter dans le monde des humains. Par conséquent, vous devez vous assurer de lui donner la meilleure des éducations.

Quelques conseils pour réussir l’éducation de votre chaton

Afin de réussir à bien éduquer votre chaton, vous devez suivre un certain nombre de conseils. Pour vous aider, voici des idées d’éducation réservée aux petits chatons.

La propreté

La propreté est la base d’une éducation réussie. D’ailleurs, un chat est propre de nature. C’est le travail de la mère de nettoyer ses petits. En outre, elle leur apprend à être propre. Mais, il y a des chatons qui sont élevés au biberon. Ils ne bénéficient pas d’une intervention maternelle pour garder leur corps propre. En tout cas, il est fondamental d’enseigner la propreté aux chats dès leur premier âge.

La nouvelle litière

Pour le premier, le mieux est de mettre votre chaton dans une pièce. Il doit être seul. Cela lui permet de prendre par lui-même ses marques. Pour ce faire, vous devez placer la litière dans un coin. Vous portez votre chaton plusieurs fois durant une journée. Il est conseillé de l’emmener après le repas.

La manipulation

Il est préférable de manipuler votre chaton le plus tôt possible. Cela simplifie votre tâche. La manipulation doit se faire avec douceur. Comme cela, il n’aura pas peur. Pour manipuler un chaton, il faut le prendre dans vos bras ou sur vos épaules et grattouiller son ventre. Vous pouvez également regarder ses dents ou ses oreilles. Il doit être habitué à vous si vous voulez le manipuler facilement.

Le respect

Le respect se fait en montrant à votre chaton ses limites. C’est surtout pendant les moments de jeu où il griffe avec trop d’assurance. Pour remédier à ce problème, il faut éviter de l’habituer à jouer avec vos mains ou vos pieds. Cela a effectivement l’air amusant lorsqu’il est encore un petit chaton. Mais, il peut devenir un grand problème quand il grandira.

Les charges à occuper

Pour apprendre le métier, il faut travailler dans un refuge, une animalerie ou encore dans une clinique vétérinaire. Les conditions de travail varient d’un endroit à un autre, mais le principe reste le même. Il faut nourrir et entretenir les animaux, aider le vétérinaire dans les soins, observer l’évolution de l’animal dans son habitat quotidien. Le bien-être de l’animal doit être la priorité d’un soigneur animalier, et il n’y a qu’en les côtoyant que l’on peut apprendre à les connaître. Le soigneur animalier doit également s’occuper de l’habitat de l’animal. Il doit nettoyer l’enclos ou les cages, s’assurer que l’animal s’y sent bien dans son habitat. Cela peut paraître comme une tâche ingrate, mais il fait partie des principales tâches d’un soigneur animalier.

Quel profil pour devenir un bon soigneur animalier ?

Être soigneur animalier c’est avant tout une vocation. Il est toujours possible de suivre des formations pour en devenir un, mais sans la vocation, c’est peine perdue. Il faut réellement aimer les animaux pour devenir un bon soigneur. Il ne s’agit pas uniquement de les cajoler ou de les donner à manger, mais surtout de prioriser leur bien-être. Le métier exige également de l’endurance et de la ténacité. Un bon soigneur doit être résistant physiquement et psychologiquement. Le rythme de travail peut être exténuant. Certaines situations nécessitent également du sang-froid. Il faut être attentif au moindre changement de comportement de l’animal, et réagir en conséquence pour éviter que son étant n’empire. Le métier exige également de la patience et de la persévérance pour dompter les animaux et les mettre en confiance.

L’entretien par le cavalier

Certains types d’entretien des sabots peuvent être réalisés par vos propres soins en tant que cavalier et propriétaire du cheval. Vous pouvez par exemple prendre en charge le graissage et le curage des pieds de l’animal. Ces deux types de soins doivent être effectués sur une fréquence régulière pour garantir une meilleure santé de ses pieds ou sabots. Le moment propice pour procéder au curage est après la balade ou une séance d’exercice. Les sabots doivent être débarrassés de toutes éventuelles impuretés qui peuvent venir s’y déposer. Vérifiez également qu’aucun caillou ne s’y loge cela peut causer des conséquences atroces : boiterie ou infection. Par ailleurs, le graissage consiste à hydrater les pieds de l’animal, c’est nécessaire en été comme en hiver. En été, il faut un graissage journalier, tandis qu’en hiver, il faut mélanger du goudron à la graisse pour mieux lutter contre l’humidité.

Un petit passage chez le maréchal-ferrant

Ferrer ou parer votre cheval n’est pas à votre portée, vous devez le confier au spécialiste : le maréchal-ferrant. Vous devez aussi vous tourner vers lui lorsque le cheval se blesse au niveau des sabots ou que ceux-ci soient affectés par une maladie. Ce professionnel vous indiquera ainsi le traitement approprié. Il est à la fois le chausseur et l’orthopédiste de votre cheval. Grâce au parage et la ferrure, il fait en sorte de conserver un meilleur état des sabots : pour rappel, ferrer consiste à clouer du fer sur les sabots et parer revient à se débarrasser de la corne qui dépasse. La fréquence pour ces deux entretiens est de 4 à 8 semaines en fonction de l’environnement où vit l’animal.